C'est ... il n'y a aucun mot pour décrire cette oeuvre d'art! Je te décerne le prix de la meilleure histoire snif ouin!! c'est trop magnifique que je ne peux retenir mes larmes...

Le fou ne serait pas Oscar je dis juste comme ça

Moi aussi je suis timide pour avouer en ce moment même j'essaye de lui avouer mais mon coeur lâche au dernier moment

En tout cas ton histoire est drôlement bien

Ah d'accord... C'est le père d'Oscar

Voilà le second chapitre!
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Chapitre 2: La vie est parfois si dure...

     Lorsqu'elle se réveilla, Hadriana ne ressentit aucune douleur. Etrange. Elle préféra garder les yeux clos, afin d'analyser son environnement. L'odeur... Il n'y en avait pas! Il y faisait bon, et au travers de ses paupières, elle voyait une incroyable lumière... Elle hésitait à ouvrir les yeux, que découvrirait-elle? Elle était également surprise de ne pas entendre les voix inquiètes de ses parents, de ses amis, d'Oscar... Mais... Etait-elle au moins à l'hopital?! En tout cas, le fait qu'elle ne ressente aucune douleur après ce qui lui était arrivé l'étonnait vraiment beaucoup, c'est pourquoi elle décida d'ouvrir les yeux.
     La salle dans laquelle elle se trouvait était blanche, immaculée, et à cause de cette blancheur trop parfaite, il était impossible de distinguer les murs, le plafond. On aurait dit qu'on se trouvait dans une infinité blanche. La jeune fille était allongée sur un matelas aussi blanc que le reste, et elle aussi était vêtue de blanc. Une belle robe blanche, dont elle ne gardait aucun souvenir, était posée sur une table blanche, et elle décida de la vêtir. La robe était courte, avec de fines bretelles, le style d'Hadriana! Puis l'accident lui revint en mémoire, elle revit toute la scène. Une multitude de question se bousculaient dans sa tête, et elle prit conscience de sa solitude dans cette immensité immaculée. Que faire? Elle était seule, elle ne savait pas où elle était, elle ne savait pas ce qu'elle devait faire... Elle se laissa tomber à genoux, et pleura à chaude larmes. Au bout d'un certain temps, elle releva un visage ravagé par la tristesse, et vit un miroir juste devant elle. Comment était-il arrivé là?! Elle se releva lentement, et s'observa sous toutes les coutures. Plus une seule blessure! Pas la moindre cicatrice! Il est vrai que les progrès en médecine et en chirurgie était étonnants, mais tout de même... Elle resta ainsi, bouche bée, puis se posa une question... Et si... Et si c'était les complices du fou qui l'avait enlevée? Peut-être en avait-il!
-Il y a quelqu'un? Hurla-t-elle à pleins poumons. S'il vous plaît... Vous m'avez enlevée? Que se passe-t-il...
     Elle se remit à pleurer, et attendit pendant d'interminables minutes une réponse, un signe. Elle attendit, debout devant le miroir. Elle attendit durant ce qui lui sembla être des heures. Puis elle entendit. Elle entendit des pas, dans son dos. Elle se retourna vivement, prête à se défendre. Mais elle fut si surprise par l'apparence de son geôlier qu'elle ne dit mot. Il s'agissait d'une personne tout à fait normale. Mis à part sa peau diaphane, sa taille (environ troi mètres) et la blancheur de ses vêtements...
-Bonjour, Hadriana, dit l'être blafard de sa voix cristalline, semblant être celle d'un enfant.
     Elle décida qu'il était temps pour elle de s'enfuir. Elle se retourna et détala à toute vitesse, courant dans la plaine blanche, qui ne s'arrêtait pas... Soudain, à quelques mètres devant elle, le personnage réapparut. Hadriana était effrayée, elle voulait partir, mais où? Elle reprit sa course, courant à perdre haleine. Mais ses cheveux dorés dans cette blancheur immaculée étaient bien trop visibles... Elle renonça, lorsque la créature apparut devant elle pour la cinquième fois ***écutive. A bout de souffle, elle se laissa tomber, et pris la décision de fermer ses yeux, afin de ne plus voir la créature qui l'effrayait tant.
-Hadriana, reprit la voix d'enfant. Je ne te veux aucun mal. Les dieux m'ont chargé de t'an...
-Les dieux? S'écria-t-elle, les yeux toujours clos. Et qu'est-ce qu'il font, les dieux? Parce que ça existe? Très bonne blague, mais je ne marche pas.
-Je suis on ne peut plus sérieux, mademoiselle. Je ne suis qu'un humble messager des dieux, mais ma tâche me torture plus que vous ne l'imaginez.
-Et de quelle tâche s'agit-il?
-Je dois annoncer aux défunts qu'ils sont morts.
-Ah ah. Très drôle. Je dois avouer que vous êtes un excellent comédien, mais les meilleures blagues sont les plus courtes, non?
-Hadriana, vous êtes décédée.
     Sous le choc, Dri se redressa brusquement, et ses yeux clos laissèrent échapper un torrent de larmes. Elle ne savait si elle devait croire la créature diaphane ou si il ne s'agissait que d'une farce stupide. Elle prti finalement son courage à deux mains, et se releva. Elle ouvrit ses yeux embués de larmes, et s'enfuit, une fois de plus. Elle avait besoin d'être seule pour accepter cela... Mais elle ne parvenait toujours pas à y croire. Il lui fallait une preuve! Elle s'arrêta brusquement, et retourna voir la créature, toujours immobile, semblant l'attendre.
-Donnez-moi une preuve de ma mort, exigea-t-elle.
     Sans dire un mot, le messager des dieux s'approcha d'elle, prit sa main, et tout bascula... Hadriana rouvrit les yeux, qu'elle avait une fois de plus fermés à cause de la peur. Elle eut un hoquet de surprise en voyant qu'elle était devant chez elle! Elle se rua à l'intérieur, délaissant le messager diaphane. Elle vit toute sa famille regroupée dans le salom, sanglotant. Elle les observa ainsi pendant plusieurs minutes, puis ils se levèrent, et se dirigèrent vers l'extérieur. Ils montèrent dans la voiture, sans prêter attention à Dri, qui les appelait depuis longtemps déjà. Lorsqu'ils descendirent de voiture, le jeune fille s'aperçut qu'ils étaient au cimetière, et qu'une assemblée de personnes qu'elle connaissait était là aussi. Quelqu'un était décédé? Un enterrement, voilà pourquoi ils pleuraient tous. Mais la jeune fille se demandait qui était mort. Elle attendit la fin de l'enterrement, loin des autres afin de ne pas entendre les pleurs continuels. Lorsque toutes les personnes furent partis, Hadriana s'approcha de la tombe, et fut saisie d'horreur en voyant le nom gravé dans le marbre noir: Hadriana Brown.
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Alors, qu'est-ce que vous en avez pensé? Vous vous y attendiez ou pas du tout?

Merci Tibiscuit, ça me motive de savoir que mon histoire est appréciée! Le prochain chapitre arrive soit ce soir, soit demain. Tout dépend des devoirs que j'aurai ;-)

Ouch c'est long

C'est petit c'est mignon c'est Cupidon la la lalalala je suis foufou et on m'appelle chouchou -__-'

C'est le chapitre qui m'a rendu pitre!!! C'est mignon! c'est cupidon!!! Je suis foufou et on m'appelle chouchou o_O I'm very buté!!! Je suis bourré!!!! Je me suis pô gouré HIPS

Si je suis foufou loulou c'est que j'ai apprécié et je suis scié! quand je suis soul je suis chouchou! Ca me rend fou les histoires comme ca!

Tu dois passer un temps fou à écrire tout ça

C'est encore mieux que les livres que je lis le soir pour m'endormir !

En plus là c'est gratuit

Il faut vraiment que tu écrives des livres plus tard ^^ Même en ayant un autre métier pour compenser ça serait bien
J'adore et le suspense y est ! Qu'est ce dont cette lumière ? XD

Lol merci Qwe-Qwe, c'est gentil de m'encourager! Je pense que le prochain chapitre arrivera plutôt demain... Mais on ne sait jamais! =P

Chapitre 4: Plutôt difficile...

     Hadriana était heureuse. Cela faisait maintenant deux jours qu'elle était revenue chez elle, et elle avait complètement oublié sa mission. Quand on est mort, c'est agréable de profiter de la vie! Mais de temps en temps, alors qu'elle jouait avec son frère, elle continuait d'apercevoir de curieux éclairs rouges, des sons étranges... Mais elle n'y prêtait guère attention. Lorsque vint son quatrième jour de vie sous la forme d'un chien, elle ressenti quelque chose d'étrange. Elle dormait dans le jardin, dans une niche de bois, près de la fenêtre de la chambre de Ben, son frère. Ce jour là, sa soeur avait un match de football, et son frère ne désirait pas y aller. Il était donc seul à la maison. Dri ouvrit un oeil ensommeillé aux alentours de neuf heures. Son frère dormait généralement à cette heure-ci. La jeune... chienne... se leva et alla regarder pas la fenêtre de son frère. Le volet était entrouvert, et la pièce était plongé dans la pénombre. Ses pattes avant posées sur le rebord de la fenêtre, elle scruta la pénombre en quête du lit de Ben. Lorsqu'elle le trouva, elle ne vit pas la forme de son frère sous les draps. Où était-il? Elle fit le tour de la maison à la recher d'une ouverture qui lui permettrait de pénétrer dans la maison. La fenêtre du salon! Elle était entrouverte, mais Dri pris la décision d'essayer de rentrer. Elle sauta, mais ses griffes rafflèrent maintes fois le rebord de pierre sans parvenir à s'y accrocher... Au bout de plusieurs minutes, elle parvint tout de même à s'y aggriper, pénétrant à l'intérieur de la maison, et atterrissant avec un bruit sourd sur le parquet. Elle s'assit, et écouta attentivement les bruits alentour... Des gémissements lui parvenaient de la salle de bain! Elle courut de toute ses forces jusqu'à la pièce d'où provenaient ces étranges sons, et poussa la porte qui n'était pas fermée...
      En pénétrant dans la salle de bain, prête à sauver son frère, elle entendit l'eau couler. Puis elle entendit de nouveau les gémissements. Ben était sous la douche, et ce que Dri avait pris pour des plaintes était en réalité... Ben en train de chanter!!! Elle allait vraiment devoir faire des efforts pour mieux comprendre ce qu'elle entendrait grâce à son ouïe animale. Elle sortit de la salle de bain, confuse, et repartit comme elle était venue: par la fenêtre du salon. Elle retourna finir sa nuit et se remettre de ses émotions dans sa niche et s'endormit, sans voir une ombre se faufiler devant elle et rentrer dans la maison par le même fenêtre que celle qu'elle avait emprunté...
     Dri se réveilla environ une heure après, paisible car elle savait que son frère ne risquait rien. Elle se leva calmement, puis trotina jusqu'à la porte d'entrée. Elle gratta et aboya pour que Ben vienne lui ouvrir, mais aucune réponse ne lui parvint, même pas des bruits de pas. Elle s'assit et hurla à la mort, aboya de plus belle. Toujours rien. « Bizarre, pensa-t-elle, je ferai mieux d'aller voir ce qu'il se passe... » Elle pénétra dans l'enceinte de la maison, toujours par cette malheureuse fenêtre dont les rebords étaient couverts de traces de pattes. Elle atterrit (en douceur, cette fois), dans la maison. Quelques chose d'étrange était là... Elle sentit... Elle sentit une odeur inhabituelle, une odeur qui n'avait pas sa place ici, une odeur qui était dangereuse. Son instinct lui soufflait de partir, qu'elle était en danger, mais elle pensa à son frère. Elle ne savait pas ce qui pouvait lui paraître si dangereux, quoiqu'elle s'en douta... Elle suivi son flair, lui vouant une entière confiance, et grimpa quatre à quatre les escaliers menant au grenier. « Il y fait toujours sombre, si je dois défendre Ben dans cette pénombre, je n'y arrieverai pas... se dit-elle, découragée. » Elle continua tout de même de monter, et arriva devant la vieille porte de bois sombre, en mauvais état. Elle s'assit sur le seuil, indécise. « Il faut que j'y aille, je dois aller le sauver... Mais... Et si? Je sais! Je vais ouvrir la porte, la pousser, et la lumière du jour s'infiltrera dans la pièce. J'y verrai mieux, et de toute façon, je dois y aller... »
     Dri poussa légèrement la porte avec son museau, et glissa sa truffe à l'intérieur de la pièce plongée dans la pénombre.  Elle sentit la pièce, et la fouilla avec son odorat, de sorte qu'elle repéra rapidement l'odeur de Ben et celle d'une autre personne qu'elle ne connaissait pas... Mais... Cette odeur! Cette personne! C'était son odeur qui l'effrayait tant, qui lui paraissait si dangereuse! Et puis, en se concentrant davantage, cette odeur ramena en elle une tornade de souvenirs. Le bruit d'un accident, le visage cruel d'un homme ayant perdu la raison, le sang, le bruit d'une ambulance... Tant de souvenirs qui lui rappelaient sa mort. Tant de souvenirs qui lui rappelaient sa haine. Hors d'elle, elle bondit dans le grenier, grognant et montrant les crocs. Le fou était là. Il avait un pistolet. Le pistolet était posé sur la tempe de Ben. Ben pleurait. Ben souffrait: son bras avait une forme étrange et du sang empourprait son T-shirt.
-C'est tout ce que l'on envoie pour te sauver? Un stupide cabot? Ricana le fou, appuyant un peu plus son arme sur la tempe du malheureux. Bien le bonjour, imbécile de chien, je m'appelle Vincent. Cela ne te gêne pas si je tue ton animal, hein? J'ai tué ta soeur, alors un mort de plus ou un de moins...
-NON! Hurla Ben, les larmes ruisselant sur ses joues.
     Vincent ricana une fois de plus de son rire dénué d'humanité, et braqua son arme sur Dri. Elle fut prise de frayeur, et son coeur loupa presque un battement. Puis un coup de feu partit, manquant de la toucher. Elle fit un bond prodigieux, et évita de justesse la balle qui alla faire exploser un vieu vase. Dri bondit de nouveau, en avant cette fois. Vincent appuya de nouveau sur la détente, et manqua d'atteindre sa cible: sa balle emporta une touffe de poil de Dri. L'homme armé fut déstabilisé et la jeune fille/chienne en profita: elle sauta sur lui et lui mordit le bras. Il lacha son arme et tomba sur le dos. Hadriana voulut se venger une bonne fois pour toutes, mais le cas de son frère la préoccupait davantage: il venait de s'évanouir... Elle délaissa Vincent et alla voir Ben, il était dans un piteux état... Le pauvre garçon avait le bras droit tordu et le T-shirt imbibé de sang. Dri ne pouvait rien faire, à son grand désespoir...
     Pendant ce temps, le fou essayait de se relever et rampait jusqu'à son arme. Hadriana le comprit et sauta devant lui, l'empêchant de l'attrapper. Il se releva vivement, semblant oublier la cuisante douleur qu'il ressentait à son bras, et s'enfuit à toutes jambes. Dri le prit en chasse, mais elle entendit la voiture de ses parents se garer dans l'allée, et arrêta de poursuivre Vincent. Elle courut jusqu'à eux et attrappa sa soeur Lola par le short, elle pouvait ainsi la tirer aisément jusqu'au grenier. Après tout, Lola n'avait que 9 ans, et elle était petite et légère pour son âge. Elle était tout le contraire de sa soeur: ses cheveux bruns et bouclés étaient courts et ses yeux noisette étaient remplis de curiosité. Elle fut d'abord surprise par le comportement de l'animal, puis se laissa finalement tirer jusqu'aux escaliers du grenier. Une fois arrivée en bas, elle voulut repartir mais entendit des plaintes sourdes venant d'en haut. Elle grimpa les marches aussi rapidement que le lui permettaient ses petites jambes, et découvrit son frère gisant sur le sol, à demi inconscient. Elle appela les secours et Ben fut sauvé, mais le pauvre garçon ne revit jamais son adorable chien...
     Les dieux avaient ramené Hadriana dans la plaine infinie, et la félicitèrent chaudement pour tous les exploits qu'elle avait éccomplis et pour tous les efforts qu'elle avait fourni. Enfin... Les dieux ne prirent guère la peine de se déplacer, continuant de communiquer avec Dri au travers d'Adam. La jeune fille eut droit à un peu de repos avant sa prochaine mission, un repos bien mérité.
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Miracle, j'ai eu le temps de terminer ce chapitre pour aujourd'hui!! Alors, quel est votre avis? ^^

si si moi j'adore